LA PLUS BELLE PRODUCTION D’ÉMERGENCE
Production de matière phygitale
Par votre clic poétique, je vais créer de l’émergence phygitale, car nous sommes submergés. La matière phygitale, que j’ai conceptualisée il y a quelques années, constitue le matériau de base de toutes mes œuvres. Mon objectif est de transformer l’émergence en un matériau fonctionnel. Pour y parvenir, une intelligence artificielle vous donne des instructions pour émerger et capter le rayonnement électromagnétique de l’émergence sur une puce électronique, rendant ainsi l’émergence tangible. Ensuite, cette puce électronique sera connectée à la blockchain, lui conférant une dimension digitale. Ainsi, la puce électronique joue le rôle liant entre les mondes physique et digital.
Produisez de l’émergement d’exception
Il était une fois, dans le dédale contemporain de la technologie et de l’information, où les écrans se dressaient comme des fenêtres sans fin sur le monde, un artiste du nom d’Arsen Eca. Surnommé ironiquement “Nuque Baissée”, en référence à l’image des utilisateurs d’écrans plongés dans leurs appareils, il proposait une démarche artistique singulière et provocatrice.
Son pseudonyme, emprunté à l’ouvrage “Submersion” de Bruno Patino, évoquait avec ironie cette posture des individus constamment absorbés par le flot incessant de données et de distractions. Mais l’œuvre d’Arsen Eca ne se réduisait pas à une simple critique de la société techno-industrielle ; elle était bien plus profonde.
À travers son art, Arsen Eca invitait chacun, ne serait-ce qu’un instant, à se libérer de l’emprise des écrans. Il souhaitait éveiller les consciences sur la domination presque invisible des algorithmes dans nos vies. Cette démarche n’était pas une simple rébellion contre la technologie, mais une quête d’équilibre, un appel à retrouver un espace où l’individu pouvait respirer, se retrouver face à lui-même, loin des écrans oppressants.
L’ironie du nom “Nuque Baissée” résidait dans le fait qu’Arsen Eca utilisait lui-même les outils numériques et l’intelligence artificielle comme moyens d’expression artistique. Mais là où d’autres cédaient à la dépendance, il cherchait la libération. Ses œuvres, imprégnées de cette “matière phygitale” qu’il avait lui-même conceptualisée, créaient un lien entre le monde physique et le monde numérique. Elles offraient ainsi une alternative à la passivité, invitant chacun à explorer activement ce nouveau territoire de création et de réflexion.
Mise en garde :
la normalisation peut parfois limiter la diversité et la créativité, en vous empêchant d’exprimer votre authenticité créant une pression pour vous conformer à des normes qui peuvent ne pas être saines ou appropriées pour vous.
